jeudi 22 février 2024

A dauphin, dauphin et demi

 Dans son habituel spécisme (condamnant au bagne des innocents, forcés de faire les clowns pour amuser la clientèle amatrice de pseudo-mer en boîte),

 le Marineland d'Antibes nous gratifie d'un scoop : les orques ne seraient donc pas des dauphins...

Les angliches ont eu beau se planter d'appelation avec "killer whale" (baleine tueuse),

 Orcinus orca est pourtant bel et bien classé comme de la famille du "dauphin" par la biologie (cétacé à dents membre du genre Delphinidae).


Anticipant la loi, interdisant la captivité à des fins commerciales de ces individus en 2026, le Marineland ne présente déjà plus de spectacles avec elles 

(mais à ce jour de février 2024 elles sont toujours là à les encombrer).


Or sans orques (mais avec des "dauphins") le "public" n'est pas content. Abawi cépapareil...

https://www.francebleu.fr/emissions/le-grand-format-france-bleu-azur/marineland-une-reouverture-sans-les-orques-qui-peine-a-seduire-2364674?fbclid=IwAR3BetuGHMZMF6FkBUr7-5k5eZnhP7Ux3S2xjQAt32cn9xfXKdzELJc7NDs


mercredi 1 juillet 2020

Lapsus révélateur


Document PDF ICI

dimanche 23 février 2020

Dauphins libres et Dauphins captifs

Yvon Godefroid 

Est mort cette nuit.
(site ami)

 
- Tristesse -

Bon vent Yvon…


L'ombre et la lumière

Isa-Glm Vg Wende

La disparition brutale d'Yvon Godefroid a plongé dans la stupeur et la peine ceux qui le connaissaient, de près ou de loin. 
Son nom comme ses combats avaient depuis de nombreuses années traversé aussi bien les frontières de sa Belgique, que celles d'autres pays retenant injustement captifs, outre des mammifères marins, sujet initial de son site internet Dauphins libres (Site «Ami» ici depuis toujours), des mammifères en général, dont les capacités très proches des nôtres, ne sont niées que par ceux qui les ignorent ou comptent en tirer profit. 
Parce que l'antispécisme n'a d'autres frontières que des barrières mentales. 
Jusqu'à son dernier souffle Yvon aura œuvré. 
Dans l'ombre il collectait patiemment les informations, les organisait avec soin, les présentait dans des articles qui font maintenant référence dans toute la Toile… que de pages les appelant en lien !
Dans la lumière des écrans il communiquait sans relâche avec de nombreux militants de tous horizons, toujours courtois, sans condescendance, il partageait volontiers ses connaissances encyclopédiques avec didactisme. 
Dans la lumière des manifestations il apportait son soutien indéfectible. 
Dans la lumière politique il s'était engagé auprès du parti animaliste Dier Animal

Yvon nous laisse un héritage précieux, tant informatif que militant. 
Tel un flambeau olympique, à nous maintenant de prendre le relais et de continuer à illuminer le sort des animaux en suivant son exemple.

vendredi 21 février 2020

Marineland ou la lamentation des hypocrites

Billet invité de Selva Sauvage

« Nous avons l'immense tristesse de vous annoncer le décès de notre grand dauphin de 40 ans Lotty »…

…nous communiquent ses bourreaux.
Le très révélateur emploi de l'adjectif possessif «notre» ne nous échappe pas, il achève de sceller, dans les termes, l'objet de leur propriété.
« C'est un vrai coup dur pour toutes nos équipes animalières qui dédient leur vie à ces animaux et ont veillé jour et nuit sur Lotty »…
…continuent-ils.
«Animalières», «animaux» et oui ce ne sont que des animaux après tout, et en plus il faut s'en occuper de ces bestioles, ça demande beaucoup de boulot...

Rappelons que les «animaux», dont ils parlent et s'octroient la propriété, n'ont rien demandé à personne, sauf à vivre comme leurs congénères Sauvages une Vie indépendante et trépidante, parcourant Libres des milliers de kilomètres dans les Océans et les Mers !

Les matons d'Antibes seraient-ils subitement enclins à la dépression devant les morts qu'ils infligent ?
Auraient-ils besoin des antidépresseurs qu'ils distribuent si généreusement à leurs bagnards ? (1)

Il est vrai que depuis son ouverture en 1970, 47 morts (déclarés) sont à déplorer rien que chez les Cétacés dans ce parc.
Ce qui fait quand même, en moyenne, un gros cadavre de Dauphin ou d'Orque à sortir des bassins et à véhiculer jusqu'à l'équarrissage tous les ans, ça finit peut-être, à la longue, par peser, un peu lourd, sur les consciences ?
Enfin on peut toujours l'espérer...
Lotty vient donc de mourir à 40 ans, après avoir servi pendant 37 ans l'industrie du «divertissement» humain.
Mais ce que ses tortionnaires oublient volontairement de dire à leurs visiteurs, c'est qu'elle faisait partie des trois dernières Delphines de leurs bassins à avoir été capturées dans leur milieu naturel.

En effet, Lotty, mais aussi Sharky et Malou toujours emprisonnées à Antibes, sont nées Libres et ont été arrachées à leurs familles pour être exploitées dans les delpinariums.

Lotty et Sharky nées sauvages en Floride ont été capturées en 1983 à l'âge de 3 ans, et Malou née sauvage à Cuba a été capturée en 1985 à l'âge de 5 ans.
Lotty, avant d'aboutir à Antibes en 2005, avait d'abord «vécu» dans 2 delphinariums anglais, puis avait été transférée de Kolmarden en Suède.
Elle a mis au monde, ou plutôt devrait-on dire au bassin : Lotus (envoyé dans un parc marin au Portugal), Lyraqui (restée à Kolmarden), Fenix (mort à Antibes), et au moins un autre petit mort peu après sa naissance le 1er janvier de cette année 2020.
Son fils Fenix avait été transféré avec elle depuis la Suède jusqu'à Antibes où elle dû assister à sa mort le 10 octobre 2009, à l'âge de seulement 8 ans.

Sharky est l'amie d'enfance de Lotty. 
Elles ont été capturées toutes deux en Floride, ont séjourné au Flamingoland d'Angleterre (2), avant d'être transférées ensemble en Suède puis à Antibes. 

À Kolmården en Suède, Sharky a donné naissance à Daphne et à Max, tous les deux sont mort là-bas, Daphne y a vécu 12 ans et pour Max on ne connaît bizarrement que son année de naissance en 2001. 
À Antibes, elle a mis au monde trois Delphineaux : Mila-Tami en janvier 2007 et morte à l'âge de 8 ans seulement, un petit mort-né le 30 mars 2010, et Jo le 8 juin 2011, une dauphine qui tourne toujours dans les bassins à ses côtés.

Il faut imaginer la tragédie que la mort de Lotty doit représenter pour Sharky qui a partagé toutes les épreuves de la captivité avec elle et représentait son dernier témoin de leur enfance en Liberté.

En 1993, grâce aux campagnes acharnées des activistes anglais, quand le Flamingoland dû fermer ainsi que tous les delphinariums d'Angleterre, trois Dauphins eurent la chance inouïe de pouvoir recouvrer leur Liberté. 
En effet : Rocky, Missie et Silver bénéficièrent d'une réhabilitation très réussie dans les eaux des Caraïbes, accueillis par le dauphin solitaire Jojo, après avoir été respectivement détenus 20, 22 et 15 ans. 
L'adage bien connu «quand on veut, on peut» est ainsi extrêmement joliment illustré, n'est-ce pas ?!... (3)

Malheureusement pour Lotty et Sharky, la générosité du public n'a pas été jusqu'à financer leur réintroduction et elles furent donc expédiées en Suède.

Malou, a elle été capturée dans les eaux de Cuba en 1985. 
Elle a «vécu» dans divers aquariums, avant d'arriver à Antibes en 1991 afin de remplacer deux Dauphins décédés la même année : Coraline et Roissy
Elle était la maman de Cornelius, né le 28 mai 1993 et mort 25 juillet 1995 à tout juste 2 ans toujours dans les bassins d'Antibes. (4)
Lotty et Sharky ont donc passé les trois premières années de leur vie dans l'estuaire de Charlotte Harbor, au sud-ouest de la Floride, qui est «un paradis pour les dauphins» qui y demeurent depuis des siècles. 
L'eau douce de deux rivières s'y mêle aux flots salés du Golfe du Mexique, faisant naître de vastes prairies marines peuplées de crustacés et de poissons.

Les clans de Dauphins se répartissent en petits villages marins, semés dans l'entrelacs d'îlots et de lagunes. 
Les eaux sont calmes, chaudes et peu profondes, les voyages limités à des visites entre voisins, la vie paisible, le temps suspendu. 
Lotty et Sharky vivaient là quand elles étaient petites. 
Elles jouaient à se poursuivre entre les racines des palétuviers, effrayaient les échassiers perchés sur le rivage en leur jetant de l'eau, et auraient pu grandir dans leur mangrove subtropicale et y devenir mères puis grand-mères.» (5)
Pour faire passer la pilule de tout ce que ces individus ont vécu et auraient pu vivre, pour qu'ils oublient tous leurs enfants et congénères morts ou malades à leurs côtés, pour qu'ils tuent l'ennui et les désirs, pour qu'ils effectuent jusqu'à la mort les chorégraphies stupides afin d'obtenir leur pitance sans faire de vagues, pour endormir leurs douleurs physiques et psychologiques, heureusement, comme dans tout bon centre de détention (ici à perpétuité), il existe : la pharmacie...







#MARINELAND2020CESTLAFIN

#Antibes

(1) https://www.dauphinlibre.be/la-petite-pharmacie-du-marinel…/
(2) https://www.cetabase.org/captive/cetacean/marineland-antibes
(3) https://one-voice.fr/…/sharky-et-lotty-doyennes-des-dauphin…
(4) https://www.cetabase.org/captive/cetacean/marineland-antibes
(5) https://one-voice.fr/…/sharky-et-lotty-doyennes-des-dauphin…  

Excellent article, également d'Yvon Godefroid.

jeudi 19 décembre 2019

Black Friday : Orques usagées à vendre aux plus offrants…

Un billet invité de Isa-Glm Vg Wende


Décembre 2019.

• Parution d'une lettre d'Ingrid Visser, la biologiste marine spécialiste des orques, adressée au président français, comme quoi elle a eu vent du projet d'un transfert des orques du Marineland vers la Chine et le suppliant d'intervenir pour les garder ici sous protection de notre législation.

• L'association de protection animale One Voice lance une pétition protestant contre ce transfert et réclamant un sanctuaire pour elles.
Certes, les vendre avant que le vent de la ruine et de la faillite ait fini de tourner, c'est une option rentable, mais alors que leur réorientation devrait rimer avec le financement de la réhabilitation de leurs clowns forcés, on sait très bien que le fric qu'ils ont gagné sur leur dos et qui devrait servir à payer cette réhabilitation, a été claqué, distribué aux actionnaires du fonds d'investissement anglais derrière Parque Reunidos... l'océan est immense, le monde des gougnafiers tout petit...

En revanche l'est tout autant celui des zoos, qu'il s'agisse d'une vente ou d'un « simple » transfert dans un parc situé en Chine mais appartenant déjà à Parque Reunidos.

En effet, rappelons que le zoo de Beauval s'enorgueuillit et récolte les retombées financières d'un « programme » d’élevage en « partenariat » avec la Chine, pour les emblématiques pandas (le petit panda actuellement séquestré et malmené en public lors de son anniversaire en 2018, ayant le malheur d'être un mâle, ne connaîtra jamais la liberté et le loisir de choisir ses partenaires qui lui seront imposées dès et tant qu'il aura du sperme, alors que les retombées sonnantes et trébuchantes tombant dans la poche de Beauval ne verront pas un centime consacré à la protection de son biotope naturel où des dizaines de pandas pourraient s'épanouir librement). 

Or le président des zoos français, qui avait activement participé à la casse de l'arrêté sur les delphinariums en Conseil d'Etat, n'est autre que le patron de Beauval.
Lequel n'ayant déjà aucun scrupule pour rentabiliser jusqu'au dernier os chaque animal tombant dans des griffes cupides, n'a aucun intérêt à se mettre « mal » avec « les Chinois » ! rageux qu'il doit être qu'après la gaffe de Ségolène Royal, qui a rendu public son propre projet de delphinarium, et le tollé général y compris de ses habitués, il ait dû le remettre sans sa poche.

Mais s'il ne fallait pas se laisser abuser par un possible joli coup médiatique ? par une opportune « fuite » interceptée, le champ de la manipulation médiatique envisageable est ouvert :

- Faire faire sa pub par les associations, et remplir le parc et l'hôtel aux carnets de commande vides pour Noël, pour que les amateurs d'animaux en boîte affluent « pour une dernière fois » voir les orques « qui risquent de partir en Chine », déjà qu'ils sont tout contents de ne pas « avoir à faire un voyage » pour en voir... grâce à un bien tiède et laconique « démenti » relayé par un simple titre l'affirmant dans Nice-Matin, repris par 20minutes.fr et 1001infos, qui ne suffit pas à C'est Assez pour y croire, dans sa lettre ouverte pour réclamer du Marineland qu"il  « se mouille » plus que ça.
De fait les orques ne leur appartenant pas, mais propriété de leur maison-mère, cela ne les engage à rien, et il n'y a guère que la sauvegarde des emplois dédiés qui pourrait inquiéter le Marineland.

- Noyer le poisson de leur incompétence et faire abandonner aux plus pusillanimes l'idée même de se battre contre leur captivité, en agitant l'épouvantail « des vilains chinois ».
Le sophisme du « il y a pire ailleurs donc je suis le meilleur donc c'est très bien ce que je fais » est vite admis par pas mal de commentateurs, un piège que, appuyée par One Voice, relaie malgré elle Ingrid Visser.
Laquelle - en s'adressant au Président Macron, et non au ministre de tutelle des cirques marins français, en ayant comme seul maigre argument « les pauvres petites bêtes mal soignées », et non la remise en cause de la marchandisation et de l'esclavage scandaleux d'êtres reconnus en Inde comme personnes non-humaines - se heurte de plein fouet au mur de la logique de rouleau compresseur dudit président (qui doit bien rigoler, lui qui vient par ailleurs de signer un nouvel accord d'exportation de viande française avec... « les Chinois »!) : valoriser les actifs potentiels qui dorment ou ne rapportent pas assez à son goût tant qu'ils valent encore quelque chose (on le voit déjà à l'œuvre avec les arbres centenaires de nos forêts actuellement rasées, embarqués directement dans des camions... chinois, dans le silence médiatique qu'il convient aux saloperies discrètes et de l'indifférence au monde du Vivant utilisé systématiquement comme une planche à billets).
Ramener le sort des cétacés confinés dans un delphinarium à des considérations dignes d'un refuge SPA, c'est louper de loin l'enjeu civilisationnel d'un monde agonisant, agité des derniers soubresauts d'une asphyxie par l'argent sale, dont les animaux sont les premières victimes.

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Voici comment le monde vient à sa fin.
Aucun éclat, juste une faible plainte
- T. S. Eliot, the Hollow Men -
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MISE A JOUR 

Dans cette même optique d'abolition d'esclavage animalier, courant janvier 2020 l'association
C'est Assez lançait une pétition en ligne pour octroyer le statut de personnes non humaines aux Cétacés (comme c'est déjà le cas en Inde).
SVP n'hésitez pas à la signer vous aussi si ce n'est déjà fait.






mercredi 21 août 2019

Novlangue au Marineland

«1984» - George Orwell / La novlangue, instrument de destruction intellectuelle

Ne nous laissons pas entraîner par les mots, et les mots penser à notre place !

MARINELAND  / Edito de la plaquette de désinformation 1999
Il suffirait donc de l’imprimer pour donner à croire qu’il faut encourager des vocations pourtant exclusivement nombrilistes («je me fais plaisir d'abord») à «dédier leur vie» (façon apostolat bidon et faux altruisme !) en s’efforçant avant tout d'oublier dans la foulée (mais ça, la plaquette ne le dit pas évidemment) que cette «vocation» permettra le développement pendant de longues années encore de cette filière si juteuse pour les actionnaires alors qu'elle repose pourtant sans le moindre questionnement moral sur la mise en esclavage et des travaux forcés d’une autre espèce

Tout ça «au service de la Nature» (les spectacles de nuit en étant probablement une des plus brillante démonstration !)… bien sûr puisqu'on vous le dit avec toutes les postures d'autorité possibles.

La Direction de la Communication enfile donc pour l’occasion la Blouse Blanche de Responsable de la Pédagogie et convoque le public ainsi censé être déculpabilisé à bon compte (et donc implicitement considéré comme ignare) à croire que l’ensemble de ce business-plan aurait un quelconque rapport avec la pédagogie et la protection de la biodiversité.
Ce flambeau étant porté - ça va de soi - par cette machinerie Marineland toute dédiée mais pour de vrai cette fois à générer du fric plutôt que quoi que ce soit d'autre de positif.

Le pathos de Mr Duncan

Il nous parle de lui, uniquement de lui… qu'est ce qu'on en a faire ?, sérieusement… à l'entendre, son «petit bonheur perso rien qu'à lui» justifierait donc tout ce système d'exploitation ?

Le Soigneur

Encore un abus de langage visant à perpétuer coûte que coûte un système de domination et d’asservissement (à des fins marchandes) en le dissimulant sous un simple mot pour mieux le nier.
Délire anthropomorphique, voilà que le dresseur ne «dresse» plus.
Désormais étiqueté soigneur, il soignerait donc ici sa famille qui l'attend impatiemment pour exécuter «spontanément» (mais sur commande) des pitreries sans fin.
Une fonction laissant entendre des soins vétérinaires... en effet, apporter des soins en captivité à des maux engendrés par la captivité s’impose, pour autant qu’on sache faire… or ce n'est pas ce que démontre le navrant taux de mortalité, à des âges précoces, pour de nombreux « pensionnaires » (haaa ! le sens des mots…) — qui n'ont pas demandé à être là — mais à qui le loyer est extorqué par un travail sans Code du Travail ni syndicat.
Remuer du croupion sous la sono des «spectacles» ne leur fait pas non plus repousser leurs dents détruites — à force d'ennui et de mal-être — en rongeant les bords de bassins.

Visiteurs ! réfléchissez et pensez par vous-même…

MARINELAND  / Page 5 de la plaquette de désinformation 1999

Un écran de fumées

Liste de mots dénaturés, vidés de leur sens et détournés, relevés dans la plaquette Marineland 2019 :
Passion 
Protéger
Rencontrer
Au service de la nature, des mers, des océans (!)
Biodiversité
Préservation
Amour des animaux
Mes meilleurs amis, ma famille
Complicité
Qualité de soins
Mission pédagogique
Valeurs

lundi 19 août 2019

MARINELAND a le sens des proportions

Fosse à orques : 1520 m2

Parking du Lagoon : 3180 m2
Parking : 29340 m2

Surface totale des parkings (en «Zone Rouge» bien inondable) :
32 520 m2
« Au service de la préservation, de la biodiversité… et du chiffre d’affaire »

La surface de la fosse à orques (1520 m2)
Vérifiez par vous-même sur le site Geoportail de l'IGN