Il serait utile qu’une surveillance continue et attentive des
dauphins du Marineland soit prise en charge par les associations
françaises, si nombreuses aujourd’hui à dénoncer la captivité. Cette
surveillance implique souvent le recours à des indicateurs. Mais elle
peut aussi s’exercer de manière toute simple, en prenant sur soi de
pénétrer dans un delphinarium et d’y payer sa place. Cette épreuve
écoeurante que s’impose l’activiste d’assister aux spectacles de
dauphins esclaves, se révèle en revanche fort précieuse pour détecter un
comportement inquiétant ou une maladie en cours (…)
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